Durant la semaine du 27 mai 2024 au 2 juin 2024, notre Service Juridique a traité un total de 15 consultations. Les canaux de communication utilisés pour les consultations des consommateurs étaient les suivants e-mail et appel vidéoLe système d'information sur la santé (SIS) est un outil qui permet d'interagir avec les consommateurs en fonction de leurs préférences et de leur commodité.
Cette semaine, nous avons principalement traité des questions relatives à banque et allégations de santé (dans l'alimentation). Dans le secteur bancaire, huit consultations ont été menées. Les consommateurs ont posé des questions sur divers sujets, notamment les frais inattendus, les difficultés liées aux plateformes bancaires en ligne et les malentendus concernant les conditions de prêt. Dans chaque cas, nous avons évalué les informations fournies, expliqué les réglementations pertinentes et conseillé les consommateurs sur les mesures à prendre, comme demander des relevés détaillés ou déposer des plaintes formelles auprès de leur banque.
En ce qui concerne les allégations de santé dans les denrées alimentaires, il y a eu six consultations. Les consommateurs ont fait part de leurs préoccupations concernant les publicités trompeuses et les informations nutritionnelles incorrectes. Nous avons fourni des conseils sur l'identification des allégations de santé autorisées par rapport aux allégations trompeuses, et nous avons décrit la procédure à suivre pour déposer des plaintes auprès d'associations de consommateurs ou par l'intermédiaire de portails de plaintes spécifiques. Dans un cas, il y a eu un chevauchement entre les deux sujets, lorsqu'un consommateur a posé des questions à la fois sur les opérations bancaires et sur les allégations de santé au cours de la même consultation. Chaque sujet a été traité séparément, dans un souci de clarté et d'exhaustivité.
Une consultation n'entrait pas dans notre champ d'action, car elle concernait une question liée à la fiscalité immobilière, qui ne relève pas de notre compétence en tant qu'agence de protection des consommateurs de l'UE. Nous avons informé le consommateur de nos limites dans ce contexte et lui avons suggéré de demander conseil à une autorité compétente spécialisée dans les questions fiscales.
Tout au long de la semaine, aucune des consultations n'a donné lieu à des questions qui ne pouvaient être traitées dans le cadre de notre mandat de protection des consommateurs. Tous les cas viables ont fait l'objet de conseils appropriés, permettant aux consommateurs de disposer des informations nécessaires pour faire valoir leurs droits ou remédier à leurs problèmes.
Cette semaine, le conseil a été fourni par WhizzBang Viadrina.


